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dimarts, 16 de gener del 2024

Lexique roman; Castelh, castelhs, castels, castel, castell

 Castelh, s. m., lat. castellum (castrum), château.

(N. E. Variantes de Catalunha, con o sin h, Cathalunya, Catalugna,  Cataluenha, Catalunhia, CataloniaChastelongne; castelh, castell, châtelaincastellaincastellancastellanscastellano, castellana, cataláncatalanachastelchâteaucastillocastilloscastiellocastiellos, etc.)

Lo castel de Berengs, n' el castel de Causac n' el castel de Monteacuto.

Titre de 960.

Le château de Bereng, et le château de Causac et le château de Montaigu. (Montagut)

Luenh es lo castelhs e la tors

Ont elha jay e son maritz.

G. Rudel: Pro ai del.

Loin est le château et la tour où elle couche et son mari.

Fig. La servela es castels e bailieus que tot a en garda.

Liv. de Sydrac, fol. 34.

La cervelle est le château et le gouverneur qui a tout en garde.

ANC. FR. Qui à un sien chastel estoit.

Roman du châtelain de Couci, v. 4061.

En vostre chastel du Louvre... Se sauvèrent de chastel en chastel.

Monstrelet, p. 120 et 170.

ANC. ESP. Cercaron à Anchira un castiello.

Poema de Alexandro, cop, 793.

CAT. (chap.) Castell. ESP. Castillo. PORT. IT. Castello.

2. Castelet, s. m., petit château, châtelet.

E pren castels e vilas e borcs e casteletz.

Guillaume de Tudela.

Et prend châteaux et villes et bourgs et châtelets.

ANC. FR. Li dus tel chastelet i fist.

Roman de Rou, v. 8608.

CAT. (chap.) Castellet. ESP. Castillete (castillito). IT. Castelletto.

3. Caslar, s. m., château-fort, tertre, éminence.

Un bel caslar en mieg d'un plan cambo.

Bertrand de Born: Pus Ventedorn.

Un beau château-fort au milieu d'un vallon uni.

Lo qual caslar es pausat en las apartenensas del castel de Belcastel.

Tit. de 1295. DOAT, t. CXXXIX, fol. 125.

Lequel château-fort est posé dans les appartenances du château de- Belcastel. (Beau-château)

E vic las forcas dreytas de costa un caslar.

Roman de Fierabras, v. 3081.

Et il vit les fourches droites à côté d'une éminence.

4. Castelar, s. m., bourg, château-fort.

E 'l caslar e 'l castelar.

Tit. de 1248. Arch. du Roy., J, 323.

Et le château-fort et le bourg.

5. Castellat, adj., fortifié, qui est en forme de château.

Era mot fortment torrada et castelada.

De corona castelada et torrelada.

Eluc. de las propr., fol. 166 et 157.

Elle était fortement tourelée et fortifiée.

De couronne en forme de château et tourelée.

6. Castellania, s. f., châtellenie.

Bayliadges, castellanias.

Tit. de 1373. DOAT, t. CXXXV, fol. 84.

Bailliages, châtellenies,

Dins la castellania et dins lo destret de la baronia de Milhau.

Tit. de 1310. DOAT, t. CLXXIX, fol. 110.

Dans la châtellenie et dans le district de la baronnie de Milhau.

CAT. ESP. (chap. castellanía) IT. Castellania.

7. Castellan, s. m., châtelain. (N. E. catalán, castellán, castellano)

Fo un gentils castelas del comtat de Rossilhon.

V. de Guillaume de Cabestaing.
(N. E. Guillem de Cabestany, catalán, - muerte en 1212.)

Fut un gentil châtelain du comté de Roussillon.

Bertrans de Born si fo un castellans de l'evescat de Peiregors.

V. de Bertrand de Born.

Bertrand de Born fut un châtelain de l'évêché de Périgord.

ANC. FR. Lors absolst le castellain.

Chronique de Cambrai.

CAT. (chap) Castellá (castellà). ESP. Castellán (sin tilde en los documentos antiguos). PORT. Castellão. IT. Castellano.

Castellão

dilluns, 9 d’octubre del 2023

Pierre, Peire; d' Alvernha, Alverne, Auvergne (1130 - 1190)

Pierre, Peire; d' Alvernha, Alverne, Auvergne

Pierre, Peire; d' Alvernha, Alverne, Auvergne

 

En estiu quan crida 'l jais,

E reviu per mieg los plais

Jovens ab la flor que nais,

Adoncs es ben dregz qu' om lais

Fals' amor enguanairitz

Ab volpilhos acropitz.


Li sordeior e 'ls savais

An lo mielhs e 'l meinhs del fais,

Pauc so prezon qui s n' irais;

Amarai, pus non puesc mais,

Que de tal amor sui guitz

Don sai que serai trahitz.


Pres ai estat en caslar,

Ab so que no y aus estar

Empero non puesc mudar;

De mos enemicx no 'l guar,

Qu' en auta roca es bastitz,

E ja non er assalhitz.


Si 'l portiers me vol jurar

Qu' autrui no i laisses intrar,

Segurs pogra guerreyar;

Mas al sagrament passar

Tem que serai escarnitz,

Que mil vetz en sui falhitz.


Lai sui plevitz e juratz

Qu' ieu non am vas autre latz,

Mas d' aisso es grans pechatz,

Qu' ieu am e no sui amatz;

Totz temps ai fag plaitz e ditz,

Per qu' ieu sui gent acuillitz.


Adoncx dey querre solatz

De que sia mais prezatz,

Quar en tal hora fui natz

Qu' anc non puec amar en patz;

E platz me quar sui issitz

De la terra on fui noiritz.


Amia m lais dieus trobar

On ja no m puesca fizar,

Et, on plus la 'n tenrai car,

Que pens de mi enguanar.

Adoncx mi tenc per guaritz,

Quan mi ment tot quan me ditz.


Assatz a que cavalguar

Qui autra la vol sercar,

Qu' en tan col cels clau la mar,

Non pot hom gaire trobar

Que non sion camjairitz

O ves drutz o ves maritz.

Totz temps deu esser marritz 

Qui d' aital amor es guitz.

//

https://fr.wikipedia.org/wiki/Peire_d%27Alvernha

Peire d’Alvernha est un troubadour (né vers 1130 et décédé vers 1190, actif de 1149 à 1170) dont 21 ou 24 œuvres en occitan nous sont parvenues. Originaire d'Auvergne, il a parcouru toutes les grandes cours des territoires occitans et espagnols.

Son style, le trobar clus, est souvent ésotérique et complexe.

Il est le premier troubadour mentionné par son nom dans la Divine comédie de Dante.

D’après sa vida, Peire était le fils d’un bourgeois du diocèse de Clermont. Comme attesté également dans sa vida, sa popularité fut grande durant sa vie et même après. On le disait bel homme, charmant, sage et instruit, et voyagea en Espagne. Durant son séjour en Espagne il fut présent à la cour d’Alphonse VII de León et Castille et de son fils Sanche III de Castille en 1157–1158. L’auteur de sa vida considère ses poèmes comme étant les meilleurs jusqu’à Giraut de Bornelh et ses mélodies comme étant les meilleures de tous les temps. Le biographe anonyme note que ses informations sur les dernières années de Peire lui viennent de Robert Dauphin. Il a été suggéré que celui-ci soit l’auteur de sa vida.

D’après l’autre troubadour Bernart Marti, Peire était entré jeune dans la vie religieuse, mais avait quitté les Ordres pour une vie de ménestrel itinérant. Il se peut qu’il soit la même personne que le Petrus d'Alvengue et le Petrus de Alvernia qui apparaissent dans les documents retrouvés à Montpellier datés de 1148. Il semblerait que Peire a eu les faveurs de la famille régnante de la couronne d'Aragon, et ses poèmes contiennent des allusions aux comtes de Barcelone et de Provence. Il a peut-être suivi la mode des seigneurs de Montpellier de l’époque qui, en tant que vassaux du Comte de Toulouse, étaient en faveur de l’Aragon. Au même moment, Peire gagna le support de Raymond V de Toulouse. Durant ses errances, il se peut qu’il ait passé du temps à Courtezon, à la cour de Raimbaut d'Orange, noble et troubadour.

Peire vécut jusqu’à un âge avancé (60), et fit pénitence avant sa mort.

Œuvres:

Elles ont été composées entre 1149 et 1170 en ancien occitan.

Peire écrivit principalement des cansos qui, ainsi qu’il est indiqué dans sa vida, étaient appelées vers à cette époque. Il inventa également la
«chanson pieuse» et écrivit 6 poèmes de ce type parlant des thèmes sérieux de la religion, de la piété, et de la spiritualité. Même dans ses œuvres plus profanes, on peut détecter l’influence moralisatrice de Marcabru, avec qui il a pu être en relation dans ses dernières années. Une des dernières chansons de Marcabru est une satire d’une des premières de Peire d’Alvernhe. La complexité de Marcabru fut également transmise à Peire.

L'œuvre de loin la plus célèbre de Peire d’Alvernhe est Chantarai d'aquest trobadors, un sirventès écrit à Puivert (Puoich-vert) dans lequel il ridiculise 12 troubadours contemporains et fait son propre éloge. Il a été conjecturé que cette pièce fut d’abord représentée en présence des 12 poètes ridiculisés, à la fin de l’été 1170 tandis qu’une ambassade menant Aliénor d'Angleterre, la fille d’Henri II d'Angleterre, à son promis espagnol Alphonse VIII de Castille, séjournait à Puivert. Le Moine de Montaudon (Pierre de Vic) composa plus tard une parodie da la satire de Peire, Pos Peire d'Alvernhl a chantat.

Chantarai d'aquest trobadors est considéré presque universellement aujourd’hui comme une pièce parodique et pas comme une critique littéraire ou artistique sérieuse. L’obscurité de la plupart des poètes ridiculisés et l’attaque de caractéristiques personnelles comme l’apparence et les manières a accrédité l’idée que la parodie ait été faite en présence des 12 victimes, accréditant d’autant plus le fait que ça ait été une parodie amiable. Au-delà des critiques sur la personne, beaucoup de critiques lancées par Peire portant sur les œuvres, notamment celles de Bernard de Ventadour et Raimbaut d'Orange.

La vida de Peire le dépeint comme un chanteur accompli et le meilleur compositeur d’alors de mélodies pour vers. Le fameux Chantarai d'aquest trobadors contient une tornada finale indiquant sa nature musicale, bien que sa propre mélodie n’ait pas survécu.

Seules 2 mélodies de Peire nous sont parvenues : l’une pour Chantarai d'aquest trobadors, une canso, et l’autre pour sa tenson. Les notations modernes de chacune sont fournies par Aubrey, La musique des troubadours.

Globalement, la musique de Peire est davantage mélismatique que la musique typique des troubadours, et elle mime le style trobar clus de ses paroles.


dissabte, 12 de gener del 2019

LA ROSADA DEL MATÍ (viernes de hermandad)

VIERNES DE HERMANDAD. "LA ROSADA DEL MATÍ" al final.

Este es uno de los primeros viernes del año, de un año 2019 que esperamos va a ser intensísimo en nuestra lucha, vamos pues a comenzar hablando de ilusión, de mucha ilusión.

Cuando esta asociación comenzó su andadura en marzo del año pasado estábamos totalmente derrotados, prácticamente muertos, el catalán ha sido introducido como lengua oficial en Aragón, hoy casi un año después seguimos igual, pero tenemos otras sensaciones, cada día estamos mas convencidos de que el reconocimiento del Chapurriau como lo que es, una lengua aragonesa llegará, nuestros políticos acabaran por dignificarlo como se merece dándole este reconocimiento. Esto puede llegar en cualquier momento,
¿por qué no en este año 2019?
Nuestro trabajo dará sus frutos, este 2019 es el primer año en que por fin ya lo podemos conseguir, si no seguiremos trabajando con aun más ímpetu para conseguirlo el siguiente.

//

A dieu coman Bel Esgar,
E plus la cieutat d' Aurenza,
E Gloriet, e 'l Caslar, (: Castellar)
E lo senhor de Proenza,
E tot quan vol mon ben lai;
Mas lai on son fait l' assai,
Cellui perdei c' a ma vida,
E 'n serai totz jornz marrida.


châtelain, catalán, català, catalá, catalan, castell, castellán, castellano, castlà, castla,

A finales del 2018 hemos trabajado mucho, hemos salido de nuestros pueblos para hacer participes de nuestro problema a nuestros conciudadanos, y estos masivamente nos están apoyando, un día de diciembre fuimos a Zaragoza y allí nos hemos quedado, también allí hay gente trabajando por el Chapurriau, cada día somos mas, cada día somos mas fuertes, esto no para de crecer, solo nos pueden parar nuestros políticos reconociendo, y dignificando al Chapurriau.

dialecto, lengua

Hoy ya podemos sacar muchas conclusiones, nos hemos reunido con mucha gente afines o no, hoy tenemos ya un claro diagnóstico de la situación en nuestros pueblos, entre los defensores del catalán hay dos tendencias, unos son los más radicales, / aparte de los locos como Manuel Riu Fillat / llevan treinta años de propaganda, de intoxicación de nuestra sociedad, están teniendo muchos medios a su alcance para convencer a cuanta mas gente mejor, sobre todo a los mas jóvenes.



Óscar Adamuz, moviment franjolí
La brossada de moviment franjolí

Con estos es casi imposible dialogar, son pocos, poquísimos, pero muy alborotadores, son los que mandan, diríamos que son la espada del catalán. (Yo diría que son la navajica plateá del catalanismo)



Arturo Quintana Font
Arturo Quintana Font

Ignacio Sorolla Vidal
Ignacio Sorolla Vidal, Natxo Sorolla Mela


Luego hay otro grupo mayoritario entre la minoría que defiende al catalán, que son las víctimas de esta campaña de tres décadas, son aquellos que les han creído de alguna forma, son como nosotros a la hora de defender nuestra forma de hablar, solo discrepamos a la

hora de escribirlo, tenemos pues mucho en común, ellos reconocen incluso que sus padres afirman hablar Chapurriau, por eso quieren defender la lengua que han recibido de sus padres, hablándola igual, en esto todos estamos de acuerdo, pero han sido convencidos en que tienen que escribirla usando la gramática catalana / la de Pompeyo Fabra, hay otras anteriores /y allí esta el error. ¿No os dais cuenta que estáis escribiendo cien por cien en catalán, no en vuestra lengua?, con la escritura os están introduciendo sus palabras, sus expresiones, vuestros hijos se están familiarizando con ellas, los están fabricando con el mismo molde que en Cataluña, allí antes de la creación de la gramática oficial también había muchos dialectos, / ver lleidatà / hoy están en vías de desaparecer, / Amanda Ulldemolins, filóloga de catalán, de Tortosa - Terres de l´Ebre / todos los jóvenes han sido fabricados con el mismo molde, el oficial, no se tienen para nada en cuenta a las diferentes variantes que allí existían, esto es exactamente lo que pasará aquí, ¿queréis esto para vuestros hijos?, nosotros para los nuestros NO. 



Reyes magos catalanes
En esta enorme campaña pro catalán nos están tratando de colar que existen diferentes tipos de catalán, el de aquí, el de allí.... esto es una enorme falsedad que ni ellos mismos se creen, que no os engañen, ellos solo creen en el catalán, el único, el de allí, pensad que cuando hacen actos en defensa del catalán aquí en Aragón, echan mano de personalidades del otro lado de la frontera, que ni conocen ni pretenden conocer nuestra realidad lingüística, la de Aragón, la que también es vuestra, ¿esto no os da que pensar?.


catalanista, castellano, catalán, Groucho Marx

cathalana, valenciana, lengua, llengua, vulgar, llati, latín, llatí

Hoy es momento de tender puentes entre nosotros, es mucho lo que nos une, y lo que nos separa se puede hablar, nos une lo principal que es el amor por nuestra tierra, el resultado de nuestra unión será impresionante, la total unanimidad.

Hoy dentro de nuestros viernes poéticos os dedicamos nuestra poesía.

"LA ROSADA DEL MATÍ"

La rosada del matí
no gelará lo nostre ímpetu
tenim lo mateix sentí
per lo nostre parlá, lo Chapurriau
mol de acuerdo estem tots
que volem defensá lo nostre parlá
ajuntem tots lo nostre esfors
y entre tots lo farem respetá
avui ya mos unix un sentimen
es ben diferén lo nostre parlá
después ya vorem com lo escribirem (escriurem)
lo nostre parlá no es catalá
no volem al pebrot, si lo primentó
som diferéns, mai inferiós
lo nostre articul no es el, es lo
la nostra unió mos fará millós
aislem als que mos volen confundí
units conseguirem la unanimidat
despullem als que no paren de mentí
que se imposo la nostra voluntat
que la rosada del matí
gelo tota la seua maldat
y que la caló de la gen de aquí
alimento a la nostra germandat.


Prat de la Riba

Prat de la Riba, (Gaceta)

"
Había que acabar de una vez con esa monstruosa bifurcación de nuestra alma, había que saber que éramos catalanes y que no éramos más que catalanes (…) Esta segunda fase del proceso de nacionalización catalana, no la hizo el amor, como la primera, sino el odio (…) tanto como exageramos la apología de lo nuestro, rebajamos y menospreciamos todo lo castellano, a tuertas y a derechas, sin medida”
...

La pedagogía del odio, vista la nula reacción del Estado, ha ido haciéndose cada vez más explícita, menos disimulada. Recientemente TV3 equiparó, a través de un documental, a España con un maltratador. Directamente. Y al presidente del Gobierno y varios ministros con dirigentes nazis. Directamente. Durante la cadena humana, la televisión pública mostró cómo una niña de no más de diez años advertía, visiblemente alterada, que había que “derrotar a España”.
La acompañaban decenas de niños de capas esteladas que repetían consignas políticas en bucle. Consignas de rechazo “al invasor”. El odio.

El periodista francés Frédéric Hermel señalaba, sólo unos minutos después del partido, la causa que explicaba el aquelarre del Camp Nou: (Francisco Franco Bahamonde les dio alguna perrica)

“¡Qué error ha cometido la democracia española dejando la educación a nivel local! Esto es lo que está matando a este país. Llevo muchos años aquí pero todavía me asombro viendo estas cosas. A lo mejor porque no he nacido aquí y no lo entiendo. […] Es alucinante. Criamos a los niños en el odio hacia España, y así está».

Mas la educación supone solamente uno de los engranajes de la fabulosa maquinaria de ingeniería social puesta en marcha hace cuarenta años. Porque se celebran congresos, con apoyo público de la Generalidad, cuyo fin es explicar “cómo España ha ido contra Cataluña”. Porque se queman fotografías del Jefe del Estado y banderas de España como ceremonia habitual para cerrar manifestaciones. Porque se profieren gritos a favor de Terra Lliure durante los actos de la llamada Asamblea Nacional Catalana. Desde el propio escenario.

Porque ya todo vale, la apatía institucional ha tolerado sistemáticamente la humillación de los símbolos nacionales y ha ofrecido barra libre de odio a cualquier hooligan que, como el diputado Joan Tardà, le apetezca gritar “¡Muera el Borbón!” con total impunidad. (Es lo que pasa cuando se abusa del Bourbon)

Tardà, no beguis tant


La tragedia de España es que se ha normalizado la hispanofobia, que ésta alcanza ya carácter ambiental y está tristemente arraigada en el imaginario colectivo de millones de catalanes. Manifestaciones populares como un carnaval sirvieron hace unos meses para animar “a matar españoles”, con señal de televisión en directo para toda Cataluña.
La normalización del odio, su aceptación como algo cotidiano, no ha de sorprender cuando es el propio presidente de la Generalidad quien habla de “una España subsidiada frente a una Cataluña productiva”; cuando es el propio presidente de la Generalidad quien se ríe del acento de gallegos o andaluces en sede parlamentaria; quien celebra tours internacionales en los que denuncia “el déficit democrático del Estado Español” y pide “ayuda” a otras naciones; quien esconde el retrato del jefe del Estado detrás de cortinas negras; quien emplea términos como “expolio” o “robo” para referirse a la relación con el resto de españoles o quien, en definitiva, sonríe mientras se humilla a España en un estadio de fútbol. (El odio catalanista).

tv3%, Cataluña, arma aborregamiento masivo, Espanya et roba, boba

Lo mismo pasa en el País Vasco