Es mostren els missatges amb l'etiqueta de comentaris Altisme. Mostrar tots els missatges
Es mostren els missatges amb l'etiqueta de comentaris Altisme. Mostrar tots els missatges

dilluns, 20 de novembre del 2023

Résumé de la grammaire romane. Chapitre III. Adjectifs.

Chapitre III. 

Adjectifs. 

L' adjectif roman s' accordait en genre et en nombre avec le substantif auquel il se rapportait.

L' A final caractérisait les adjectifs féminins.

Pour indiquer que l' adjectif masculin se rapportait à un sujet ou à un régime, soit au singulier, soit au pluriel, il suffisait de la présence ou de l' absence de l' S final.

Les adjectifs communs aux deux genres ne prenaient point la terminaison A, quand ils étaient joints à un nom féminin; mais ils recevaient au singulier l' S final comme sujets; et au pluriel, soit sujets, soit régimes, au féminin comme au masculin, ils gardaient toujours cet S.

Les adjectifs terminés originairement en S le conservaient au singulier et au pluriel, qu' ils fussent employés soit comme sujets, soit comme régimes.

Quelquefois le féminin ajoutait son signe final A: fals, falsa, faux, fausse; dans certains cas même cet A remplaçait l' S final: savis, savia, sage.

Les adjectifs romans remplissaient parfois les fonctions de substantifs.

Ils étaient souvent employés impersonnellement avec le verbe ESSER

Bel m' es, il m' est beau.

Souvent aussi ils avaient des régimes tels que A, DE, etc.: Leu A chantar, léger à chanter; paubre d' aver, pauvre d' avoir.


Degrés de comparaison.


Ce fut par le secours des adverbes de quantité plus, mais, mens, mielhs, aitant, etc., que la langue romane exprima ordinairement les degrés de comparaison.

Si ces adverbes auxiliaires n' étaient précédés ni de l' article, ni d' un pronom possessif, ils désignaient le comparatif, après lequel la langue romane plaçait communément QUE ou DE. (1: Le QUE pouvait être sous-entendu).

Parfois elle adopta, pour exprimer PLUS, la terminaison latine OR, et dans cette circonstance ER désigna le sujet, au singulier, et OR les régimes; au pluriel, le sujet et les régimes prirent la désinence OR.

Pour exprimer le superlatif, on plaça l' article ou le mot qui le suppléait devant le comparatif ou devant l' adverbe de comparaison.

Quelquefois les terminaisons AIRE, EIRE, IRE caractérisèrent, mais au singulier seulement, le sujet des termes de comparaison, et alors ils reçurent les désinences ADOR, EDOR, IDOR, quand ils étaient employés comme régimes.

Quelquefois aussi, mais rarement, le superlatif fut emprunté de la finale latine issimus, et prit la terminaison ISME: altisme, très haut; sanctisme, très saint.

dijous, 27 d’agost del 2020

Capitol XXXVIII. De superbia.

Capitol XXXVIII. De superbia


Superbia es rael de tots mals. Hom superbios es abhominable a Deu e als homens. Lom superbios es semblant al diable. Cobejançee superbia son axi un mal que ni la superbia sens cobejançe ni la cobejançe pot esser sens superbia. Lo diable per sa cobeyanse e superbia dixpujarmen he sobre lo cel. Jhesu-Crist diu ab humilitat la mia anima ses humiliada fins a la pols. Lo diable per superbia e cobejançe dix yosare semblant al Altisme. Jhesu-Crist per humilitat es fet obedient fins a la mort. A la derreria lo diable per superbia es acabuçat enlinfern. Jhesu-Crist per humilitat es levat sobre los cels e quina cosa es pecca sino menyspreu de Deu ab lo qual menyspresam sos manaments. Sor molt cara creu a mi que vigilies oracions dejunis almoynes e obres treballoses que han durat lonch temps si fenexenen superbia per no res son jutjades devant Deu. Adonchs amable sor prechte que no estenes les ales de superbia. No leves en alt les plomes de superbia e la raho es aquesta car la superbia ha deposats los angels ha prostats (postrats) e aterratslos poderosos e destrohits los superbiosos. Nostre Senyor Deus contresta als superbiosos e dona la sua gracia als humils. Amonestte esposa de Jhesu-Crist que mes te alegres de la companyia de les serventes de Jhesu-Crist que de la noblesa de ton linatge prechte amable sor que mes te alegres de la compayia de los pobresvergens que de la noblesa de tos parents posat que sienrichs e poderosos la raho es aquesta car Deus no es acceptador de persones. Aquell qui menyspresa lo pobre fa a Deu gran injuria. Aquell qui menyspresa lo pobre se trau scarnde aquell quil ha fet. Amable sor Deus te do per sa merce pregona humiltat e vera caritat Amen.